• WHO 60th anniversary commemorative volume In This Month´s Bulletin

  • Exploring the features of universal coverage Editorials

    Carrin, Guy; Xu, Ke; Evans, David B
  • Universal coverage and health financing from China's perspective Editorials

    Hu, Shanlian
  • The positive contributions of global health initiatives Editorials

    Banati, Prerna; Moatti, Jean-Paul
  • Making health care affordable in China News

  • Sharing the burden of sickness: mutual health insurance in Rwanda News

  • Public tensions, private woes in Chile News

  • Recent news from WHO News

  • Time is ripe for health-care reform News

  • Devolved power: key for health care in India News

  • Effects of mutual health organizations on use of priority health-care services in urban and rural Mali: a case-control study Research

    Franco, Lynne Miller; Diop, François Pathé; Burgert, Clara R; Kelley, Allison Gamble; Makinen, Marty; Simpara, Cheick Hamed Tidiane

    Resumo em Francês:

    RÉSUMÉ OBJECTIF: Examiner comment la présence d'une mutuelle de santé communautaire influe sur le recours aux services de santé prioritaires, sur la protection financière de ses affiliés et sur la couverture des pauvres et autres groupes cibles. MÉTHODES: Quatre mutuelles de santé ont été mises en place dans deux districts du Mali. On a réalisé une étude cas témoins qui a permis de recueillir des données d'enquête auprès de 817 ménages affiliés, de 787 ménages non affiliés vivant dans une zone de desserte des mutuelles et de 676 ménages témoins vivant dans une zone non desservie par les mutuelles. Nous avons compilé les données des registres des mutuelles par ménage sur une période de 22 mois. Parmi les mesures de résultat figuraient le recours aux services prioritaires, les dépenses de santé et les débours directs des ménages. Les variables indépendantes étudiées comprenaient des paramètres démographiques, socioéconomiques et qualifiant l'accès aux soins qui s'appliquaient aux individus, aux ménages et aux communautés et avaient été tirées de l'enquête auprès des ménages de 2004. RÉSULTATS: Les affiliés des mutuelles à jour de leurs primes (en contrôlant pour l'éducation, la distance au centre de santé le plus proche et d'autres facteurs) avaient une probabilité 1,7 fois supérieure d'être traités pour une fièvre dans un établissement moderne, une probabilité 3 fois supérieure de présenter leur enfant atteint de diarrhée dans un centre de santé et/ou de le traiter par des sels de réhydratation orale à domicile et une probabilité 2 fois supérieure de bénéficier de quatre visites prénatales ou plus et de dormir sous une moustiquaire imprégnée d'insecticide (p < 0,10 ou mieux dans tous les cas) s'ils avaient moins de cinq ans ou attendaient un enfant. Néanmoins, la distance au centre de santé le plus proche constituait aussi un facteur prédictif important de l'absence de recours à de nombreux services, notamment l'accouchement assisté. Il n'a pas été relevé d'association significative entre l'affiliation familiale ou individuelle à une mutuelle et le statut socioéconomique (sauf pour le quintile le plus riche) et les mutuelles semblent apporter une certaine protection financière à leurs affiliés. CONCLUSION: Les mutuelles sont un mécanisme que peuvent utiliser les pays qui renforcent leur fourniture de soins primaires pour rendre les services de santé prioritaires plus accessibles sur le plan financier et plus équitables.

    Resumo em Espanhol:

    RESUMEN OBJETIVO: Analizar los efectos de una mutua de salud comunitaria sobre la utilización de servicios de salud prioritarios, la protección financiera de sus miembros y la cobertura de pobres y otros grupos destinatarios. MÉTODOS: Se llevó a cabo un estudio de casos y controles en relación con cuatro mutuas establecidas en dos distritos de Malí, reuniéndose datos de encuestas domiciliarias sobre 817 hogares acogidos a las mutuas, 787 hogares no acogidos a ellas en las zonas de captación correspondientes, y 676 hogares de control de zonas que carecían de mutuas. Compilamos datos de los registros de las mutuas por hogares para un periodo de 22 meses. Como medidas de resultados se emplearon la utilización de servicios prioritarios, los gastos sanitarios y los pagos directos. Las variables independientes abarcaron características de los individuos, los hogares y la comunidad y datos demográficos, socioeconómicos y referentes al acceso, sobre la base de una encuesta de hogares de 2004. RESULTADOS: Tras controlar en función de la educación, la distancia al centro de salud más próximo y otros factores, se observó que los miembros de las mutuas que tenían al día el pago de las primas presentaban una probabilidad 1,7 veces mayor de recibir tratamiento para una fiebre en servicios modernos; tres veces más probabilidades de llevar a los niños con diarrea a un establecimiento de salud y/o tratarlos con sales de rehidratación oral en el hogar; dos veces más probabilidades de realizar cuatro o más visitas prenatales; y dos veces más probabilidades, en el caso de las embarazadas y los menores de 5 años, de dormir bajo un mosquitero tratado con insecticida (p < 0,10 o inferior en todos los casos). Sin embargo, la distancia fue también un factor predictivo negativo en lo relativo a la utilización de muchos servicios, en particular de asistencia al parto. La pertenencia familiar o individual a una mutua no se asoció de forma significativa a un determinado estatus socioeconómico (exceptuando el quintil superior), y parece que las mutuas procuraban efectivamente cierta protección financiera para sus miembros. CONCLUSIÓN: Las mutuas son un mecanismo al que pueden recurrir los países que están reforzando la oferta de atención primaria para ampliar el acceso financiero a servicios de salud prioritarios y mejorar la equidad en ese terreno.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To examine the effects of a community-based mutual health organization (MHO) on utilization of priority health services, financial protection of its members and inclusion of the poor and other target groups. METHODS: Four MHOs were established in two districts in Mali. A case-control study was carried out in which household survey data were collected from 817 MHO member households, 787 non-member households in MHO catchment areas, and 676 control households in areas without MHOs. We compiled MHO register data by household for a 22-month period. Outcome measures included utilization of priority services, health expenditures and out-of-pocket payments. Independent variables included individual, household and community demographic, socioeconomic and access characteristics, as determined through a household survey in 2004. FINDINGS: MHO members who were up to date on premium payments (controlling for education, distance to the nearest health facility and other factors) were 1.7 times more likely to get treated for fevers in modern facilities; three times more likely to take children with diarrhoea to a health facility and/or treat them with oral rehydration salts at home; twice as likely to make four or more prenatal visits; and twice as likely, if pregnant or younger than 5 years, to sleep under an insecticide-treated net (P < 0.10 or better in all cases). However, distance was also a significant negative predictor for the utilization of many services, particularly assisted deliveries. Household and individual enrolment in an MHO were not significantly associated with socioeconomic status (with the exception of the highest quintile), and MHOs seemed to provide some financial protection for their members. CONCLUSIONS: MHOs are one mechanism that countries strengthening the supply of primary care can use to increase financial access to - and equity in - priority health services.
  • The impact of user fees on health service utilization in low- and middle-income countries: how strong is the evidence? Research

    Lagarde, Mylene; Palmer, Natasha

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Evaluer les effets de la participation à la charge de l'utilisateur sur le recours aux services de santé dans les pays à revenu faible ou moyen. MÉTHODES: Une revue systématique de 25 bases de données relatives aux sciences sociales, à l'économie et à la santé, ainsi que d'autres sources, a été effectuée pour identifier et évaluer les études concernant les effets de l'introduction, de la suppression, de l'augmentation ou de la réduction des frais à la charge des utilisateurs sur le recours aux divers services de santé, dans les pays à revenu faible ou moyen. Seules les études de type expérimental ou quasi-expérimental ont été prises en compte : il s'agissait notamment d'essais contrôlés randomisés par grappes, d'études contrôlées «avant et après» et d'analyses de séries temporelles interrompues. On a également évalué des articles mesurant les effets de ce type d'intervention sur l'évolution du recours aux services sanitaires (y compris les résultats en termes d'équité), des dépenses des ménages ou des résultats sanitaires. RÉSULTATS: Seize études ont été prises en compte : cinq études contrôlées avant et après, deux essais contrôlés et randomisés par grappes et neuf analyses de séries temporelles interrompues. On n'a retenu que des études rapportant des effets sur le recours aux services de santé, dans certains cas parmi des groupes socioéconomiques. On a constaté que la suppression ou la réduction des frais à la charge des utilisateurs se traduisait par un plus grand recours aux services curatifs et potentiellement aux services préventifs, mais aussi parfois par une détérioration de la qualité des services. Le fait d'introduire ou d'augmenter de tels frais diminuait le recours à certains services curatifs, bien que des améliorations de la qualité de ces services aient pu contribuer à maintenir leur niveau d'utilisation dans certains cas. Lors de l'introduction ou de la suppression d'une participation à la charge des utilisateurs, l'impact a été immédiat et brusque. Les études ne montraient pas suffisamment bien si l'augmentation ou la diminution du recours observée perdurait à long terme. De plus, la plupart d'entre elles ont été jugées de basse qualité selon des critères adaptés d'après le Cochrane Collaboration's Effective Practice and Organisation of Care Group. CONCLUSION: Des travaux de recherche de meilleure qualité sont nécessaires pour examiner les effets de modifications des frais à la charge des bénéficiaires des services de santé dans les pays à revenu faible ou moyen.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Evaluar los efectos de los honorarios cobrados a los usuarios sobre el uso de los servicios de salud en los países de ingresos bajos y medios. MÉTODOS: Se llevó a cabo una búsqueda sistemática en 25 bases de datos y otras fuentes de bibliografía sobre ciencias sociales, economía y salud a fin de identificar y evaluar los estudios realizados sobre los efectos de introducir, suprimir, aumentar o reducir las tarifas cobradas a los usuarios en la utilización de diversos servicios de salud en los países de ingresos bajos y medios. Sólo se tuvieron en cuenta los estudios experimentales o cuasiexperimentales: ensayos controlados aleatorizados por conglomerados (ECA-G), estudios controlados " antes y después" (CAD) y estudios de series temporales interrumpidas (STI). Se evaluaron los artículos en los que se habían medido los efectos de la intervención en la utilización de los servicios (incluidos los resultados de equidad), el gasto de los hogares o los resultados sanitarios. RESULTADOS: Se consideraron 16 estudios: 5 CAD, 2 ECA-G y 9 STI. Sólo se identificaron los estudios en que se habían notificado efectos sobre la utilización de los servicios de salud, a veces en distintos grupos socioeconómicos. Se observó que la supresión o reducción de los honorarios cobrados a los usuarios aumentaba la utilización de los servicios curativos y podía aumentar también la de los servicios preventivos, pero esas medidas pueden tener un impacto negativo en la calidad de los servicios. La introducción de honorarios o el aumento de los mismos redujeron la utilización de algunos servicios curativos, aunque las mejoras de la calidad pueden haber ayudado a mantener la utilización en algunos casos. Los efectos de la introducción o supresión de los honorarios fueron inmediatos y pronunciados, pero los estudios no revelaron con claridad si ese aumento o reducción de la utilización se mantenía a largo plazo. Además, la mayoría de los estudios fueron clasificados como de baja calidad de acuerdo con los criterios adaptados a partir de los establecidos por el Grupo de Eficacia de la Práctica y Organización de la Atención de la Colaboración Cochrane. CONCLUSIÓN: Es necesario emprender investigaciones de mayor calidad para determinar los efectos de los cambios en los honorarios pagados por los usuarios sobre los servicios de salud en los países de ingresos bajos y medios.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess the effects of user charges on the uptake of health services in low- and middle-income countries. METHODS: A systematic search of 25 social science, economics and health literature databases and other sources was performed to identify and appraise studies on the effects of introducing, removing, increasing or reducing user charges on the uptake of various health services in low- and middle-income countries. Only experimental or quasi-experimental study designs were considered: cluster randomized controlled trials (C-RCT), controlled " before and after" (CBA) studies and interrupted time series (ITS) studies. Papers were assessed in which the effect of the intervention was measured in terms of changes in service utilization (including equity outcomes), household expenditure or health outcomes. FINDINGS: Sixteen studies were included: five CBA, two C-RCT and nine ITS. Only studies reporting effects on health service utilization, sometimes across socioeconomic groups, were identified. Removing or reducing user fees was found to increase the utilization of curative services and perhaps preventive services as well, but may have negatively impacted service quality. Introducing or increasing fees reduced the utilization of some curative services, although quality improvements may have helped maintain utilization in some cases. When fees were either introduced or removed, the impact was immediate and abrupt. Studies did not adequately show whether such an increase or reduction in utilization was sustained over the longer term. In addition, most of the studies were given low-quality ratings based on criteria adapted from those of the Cochrane Collaboration's Effective Practice and Organisation of Care group. CONCLUSIONS: There is a need for more high-quality research examining the effects of changes in user fees for health services in low- and middle-income countries.
  • Coping with out-of-pocket health payments: empirical evidence from 15 African countries Research

    Leive, Adam; Xu, Ke

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Etudier les facteurs associés au comportement des ménages face aux dépenses de santé dans 15 pays d'Afrique et fournir des éléments aux décideurs politiques pour concevoir des mécanismes de protection financière dans le domaine de la santé. MÉTHODES: Une série de régressions logit ont été pratiquées pour étudier les facteurs corrélés à une plus grande probabilité de vente de biens, d'emprunt ou de réalisation de ces deux opérations pour financer des soins de santé. Les effets partiels moyens pour différents niveaux de dépenses de soins hospitaliers ont été obtenus en déterminant les effets partiels pour chaque observation et en calculant la moyenne sur l'échantillon. Les données utilisées pour l'analyse étaient tirées de l'Enquête sur la santé dans le monde 2002-2003, qui avait recueilli des informations auprès des ménages sur la façon dont ils avaient financé les dépenses de santé à leur charge pendant l'année précédente. Les ménages ayant vendu des biens ou emprunté de l'argent ont été comparés à ceux ayant financé leurs dépenses de santé à partir de leurs revenus ou de leurs économies. Ceux ayant fait appel à une assurance ont été exclus. Aux fins de l'analyse, une valeur de 1 a été affectée à la vente de biens ou à un emprunt financier et une valeur de 0 au recours à d'autres mécanismes pour faire face aux dépenses. RÉSULTATS: La proportion des ménages ayant réglé leurs dépenses de santé par un emprunt ou la vente de biens allait de 23 % en Zambie à 68 % au Burkina Faso. En général, les groupes disposant des plus hauts revenus avaient une probabilité moindre d'emprunter ou de vendre des biens. En revanche, les mécanismes de réponse aux dépenses de santé variaient peu entre les quintiles de revenus inférieurs. Les ménages confrontés à des dépenses hospitalières importantes avaient une probabilité nettement plus forte d'emprunter ou d'appauvrir leurs actifs que ceux finançant des soins ambulatoires ou médicaux de routine, sauf au Burkina Faso, en Namibie et au Swaziland. Dans huit pays, pour le coefficient associé au quintile de dépenses hospitalières le plus élevé, on avait p < 0,01. CONCLUSION: Dans la plupart des pays africains, le système de financement des dépenses de santé est trop faible pour protéger les ménages des dépenses catastrophiques. Le recours à l'emprunt ou à la vente de biens pour financer les soins de santé est une pratique courante. Des systèmes de prépaiement formels seraient utiles à de nombreux ménages et un réseau de protection sociale global pourrait contribuer à atténuer les effets à long terme de la mauvaise santé sur le bien-être des foyers et à réduire la pauvreté.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Estudiar los factores asociados a los comportamientos adoptados por los hogares para afrontar los gastos sanitarios en 15 países africanos, y aportar a las instancias normativas datos probatorios que les permitan formular mecanismos de protección financiera de la salud. MÉTODOS: Se realizaron regresiones logit para estudiar los factores correlacionados con una mayor probabilidad de vender bienes, pedir préstamos o ambas cosas para financiar la atención de salud. Los efectos parciales medios para diferentes niveles de gasto en atención hospitalaria se determinaron calculando los efectos parciales para cada observación y considerando la media de la muestra. Los datos usados en el análisis proceden de la Encuesta Mundial de Salud 2002-2003, en la que se preguntaba cómo habían financiado los hogares los pagos directos durante el último año. Los hogares que vendieron bienes o adquirieron préstamos se compararon con los que pudieron financiar la atención de salud con sus ingresos o ahorros. No se incluyó en el estudio a los que estaban asegurados. A efectos de este análisis, se asignó un valor de 1 a los que vendieron bienes o se endeudaron, y un valor de cero a los que afrontaron la situación mediante otros mecanismos. RESULTADOS: Entre un 23% (Zambia) y un 68% (Burkina Faso) de los hogares vendieron bienes o pidieron dinero prestado. En general, los grupos con mayores ingresos fueron los que menos recurrieron a esas opciones, pero los mecanismos de afrontamiento no diferían de forma marcada entre los quintiles de ingresos inferiores. Entre los hogares con mayores gastos hospitalarios se observó una tendencia significativamente mayor a pedir préstamos y vender bienes en comparación con quienes tuvieron que financiar atención ambulatoria o gastos médicos corrientes, exceptuando los casos de Burkina Faso, Namibia y Swazilandia. En ocho países, el coeficiente para el quintil superior de los gastos en atención hospitalaria presentaba un valor de p inferior a 0,01. CONCLUSIÓN: En la mayoría de los países africanos, el sistema de financiación sanitaria es demasiado débil para proteger a los hogares de los problemas críticos de salud. La petición de préstamos y la venta de bienes para financiar la atención de salud son reacciones frecuentes en esos casos. Unos sistemas formales de prepago podrían beneficiar a muchos hogares, y una red general de protección social podría ayudar a atenuar los efectos que la mala salud tiene a largo plazo en el bienestar doméstico, así como a reducir la pobreza.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To explore factors associated with household coping behaviours in the face of health expenditures in 15 African countries and provide evidence for policy-makers in designing financial health protection mechanisms. METHODS: A series of logit regressions were performed to explore factors correlating with a greater likelihood of selling assets, borrowing or both to finance health care. The average partial effects for different levels of spending on inpatient care were derived by computing the partial effects for each observation and taking the average across the sample. Data used in the analysis were from the 2002-2003 World Health Survey, which asked how households had financed out-of-pocket payments over the previous year. Households selling assets or borrowing money were compared to those that financed health care from income or savings. Those that used insurance were excluded. For the analysis, a value of 1 was assigned to selling assets or borrowing money and a value of 0 to other coping mechanisms. FINDINGS: Coping through borrowing and selling assets ranged from 23% of households in Zambia to 68% in Burkina Faso. In general, the highest income groups were less likely to borrow and sell assets, but coping mechanisms did not differ strongly among lower income quintiles. Households with higher inpatient expenses were significantly more likely to borrow and deplete assets compared to those financing outpatient care or routine medical expenses, except in Burkina Faso, Namibia and Swaziland. In eight countries, the coefficient on the highest quintile of inpatient spending had a P-value below 0.01. CONCLUSION: In most African countries, the health financing system is too weak to protect households from health shocks. Borrowing and selling assets to finance health care are common. Formal prepayment schemes could benefit many households, and an overall social protection network could help to mitigate the long-term effects of ill health on household well-being and support poverty reduction.
  • Universal coverage of health services: tailoring its implementation Policy and Practice

    Carrin, Guy; Mathauer, Inke; Xu, Ke; Evans, David B

    Resumo em Francês:

    En 2005, les Etats Membres de l'OMS ont adopté une résolution encourageant les pays à développer des systèmes de financement de la santé capables de mettre en place et/ou de maintenir une couverture universelle des services de santé permettant à toutes les personnes d'avoir accès aux services sanitaires dont elles ont besoin sans risquer des conséquences financières graves. Dans cette voie, l'une des difficultés majeures pour de nombreux pays réside dans l'abandon du système des débours directs par les ménages, qui sert fréquemment de source importante de financement. Il faut développer ou élargir des méthodes de prépaiement, tout en accordant une attention particulière non seulement aux questions de collecte des contributions, mais aussi à la mise en commun des fonds pour répartir les risques et permettre un usage efficace et équitable de ces fonds. La mise au point de mécanismes de prépaiement peut prendre du temps en fonction du contexte économique, social et politique qui règne dans les pays. Il faut aussi élaborer des règles spéciales pour les politiques de financement de la santé et adapter les organisations chargées de la mise en œuvre de ces politiques en fonction du niveau que les pays sont en mesure de supporter et de maintenir. Nous proposons dans cet article un cadre complet, régissant principalement les règles et les organisations de financement de la santé, utilisable pour aider les pays à développer des systèmes de financement de la santé orientés vers la réalisation de la couverture universelle.

    Resumo em Espanhol:

    En 2005 los Estados Miembros de la OMS adoptaron una resolución en la que se alienta a los países a desarrollar sistemas de financiación sanitaria capaces de alcanzar o mantener la cobertura universal de servicios de salud: mecanismos para garantizar que toda la población tenga acceso a los servicios de salud necesarios sin arriesgarse a sufrir consecuencias financieras graves. En ese empeño, un reto importante para muchos países será el de renunciar a los pagos directos, empleados a menudo como una fuente importante de fondos. Habrá que desarrollar o expandir los métodos de prepago, pero, además de las cuestiones relativas a la recaudación de ingresos, se deberá prestar especial atención a la mancomunación de fondos para repartir los riesgos y utilizar dichos fondos de forma eficiente y equitativa. El desarrollo de mecanismos de prepago puede requerir tiempo, según el contexto económico, social y político de los países. Será necesario elaborar normas específicas para las políticas de financiación sanitaria y habrá que adaptar las organizaciones ejecutoras a niveles que los países puedan apoyar y mantener. En este artículo proponemos un marco integral centrado en las normas y organizaciones de financiación de la salud que pueden utilizarse para ayudar a los países a desarrollar sus sistemas de financiación sanitaria en pro de la cobertura universal.

    Resumo em Inglês:

    In 2005, the Member States of WHO adopted a resolution encouraging countries to develop health financing systems capable of achieving and/or maintaining universal coverage of health services - where all people have access to needed health services without the risk of severe financial consequences. In doing this, a major challenge for many countries will be to move away from out-of-pocket payments, which are often used as an important source of fund collection. Prepayment methods will need to be developed or expanded but, in addition to questions of revenue collection, specific attention will also have to be paid to pooling funds to spread risks and to enable their efficient and equitable use. Developing prepayment mechanisms may take time, depending on countries' economic, social and political contexts. Specific rules for health financing policy will need to be developed and implementing organizations will need to be tailored to the level that countries can support and sustain. In this paper we propose a comprehensive framework focusing on health financing rules and organizations that can be used to support countries in developing their health financing systems in the search for universal coverage.
  • Development assistance for health: should policy-makers worry about its macroeconomic impact? Policy and Practice

    Cavagnero, Eleonora; Lane, Christopher; Evans, David B; Carrin, Guy

    Resumo em Francês:

    De nombreux pays à faible revenu doivent substantiellement accroître leurs dépenses pour réaliser les objectifs portant sur la couverture universelle par les services sanitaires essentiels. Néanmoins la grande faiblesse de leurs ressources font qu'ils sont dans l'incapacité, à court ou moyen terme, de lever des fonds suffisants à partir de leurs seules sources domestiques. Il faudra donc leur apporter une aide accrue en faveur de la santé. Cependant, on craint depuis longtemps que l'arrivée rapide de grandes quantités de devises étrangères dans le pays n'entraîne une hausse de l'inflation et une perte de compétitivité internationale, avec des effets négatifs sur les exportations et la croissance économique, un phénomène économique appelé «syndrome hollandais». Nous avons analysé des études empiriques menées à travers ou à l'échelle d'un pays et nous proposons un cadre simple pour jauger l'ampleur des risques macroéconomiques. Parmi les 15 pays à faible revenu dont les dépenses de santé subventionnées sont en augmentation, 7 présentent des risques macroéconomiques importants, qui pourraient faire obstacle à un accroissement durable des dépenses. Ces considérations s'appliquent également à un quart des 42 pays dont les dépense n'augmentent pas actuellement. Les autorités sanitaires doivent être conscientes des nombreux facteurs de risque en jeu, y compris des facteurs spécifiques au secteur sanitaire et d'autres qui ne le sont généralement pas. Elles doivent aussi réaliser qu'il existe des moyens efficaces pour atténuer le risque de syndrome hollandais associé à une augmentation de l'aide au développement en faveur de la santé. Les partenaires internationaux ont également un rôle important à jouer car l'apport par les donateurs de flux de financement plus durables et plus prédictibles favorise des investissements plus productifs en capital humain et physique, ce qui contribue également à minimiser les effets macroéconomiques néfastes d'une aide accrue.

    Resumo em Espanhol:

    Muchos países de ingresos bajos necesitan aumentar sustancialmente su gasto si desean alcanzar las metas de cobertura universal para servicios de salud esenciales, pero, al ser su renta muy baja, la mayoría no podrán recaudar fondos suficientes de fuentes nacionales a corto y medio plazo. Se requerirá un incremento de la ayuda para la salud. Sin embargo, un riesgo que suscita preocupación desde hace tiempo es que el rápido aflujo de grandes cantidades de divisas a un país puede provocar un aumento de la inflación y pérdida de competitividad en el plano internacional, con el consiguiente perjuicio para las exportaciones y el crecimiento económico. Es lo que se conoce como " mal holandés" . Tras examinar diversos estudios empíricos interpaíses e intrapaíses, proponemos un marco simple para calibrar la magnitud de los riesgos macroeconómicos. De los 15 países de ingresos bajos que están aumentando el gasto en salud financiado con ayuda, 7 presentan riesgos macroeconómicos elevados que pueden dificultar una ampliación sostenida del gasto. Esta situación se da también en una cuarta parte de los 42 países que no están aumentando el gasto actualmente. Las autoridades sanitarias deben ser conscientes de los muchos factores de riesgo que intervienen aquí, dentro y fuera del sector de la salud. Deben reparar también en que existen medios eficaces para mitigar el riesgo de mal holandés asociado al aumento de la asistencia para el desarrollo destinada a la salud. Los asociados internacionales tienen además un papel importante a desempeñar dado que unos flujos más sostenibles y predecibles de financiación por los donantes permitirán hacer una mayor inversión en capital físico y humano y mejorar la productividad, lo que contribuirá también a reducir los efectos negativos de los aumentos de la ayuda en las variables macroeconómicas.

    Resumo em Inglês:

    Many low-income countries need to substantially increase expenditure to meet universal coverage goals for essential health services but, because they have very low-incomes, most will be unable to raise adequate funds exclusively from domestic sources in the short to medium term. Increased aid for health will be required. However, there has long been a concern that the rapid arrival of large amounts of foreign exchange in a country could lead to an increase in inflation and loss of international competitiveness, with an adverse impact on exports and economic growth, an economic phenomenon termed 'Dutch disease'. We review cross-country and country-level empirical studies and propose a simple framework to gauge the extent of macroeconomic risks. Of the 15 low-income countries that are increasing aid-financed health spending, 7 have high macroeconomic risks that may constrain the sustained expansion of spending. These conditions also apply in one-quarter of the 42 countries not presently increasing spending. Health authorities should be aware of the multiple risk factors at play, including factors that are health-sector specific and others that generally are not. They should also realize that there are effective means for mitigating the risk of Dutch disease associated with increasing development assistance for health. International partners also have an important role to play since more sustainable and predictable flows of donor funding will allow more productivity enhancing investment in physical and human capital, which will also contribute to ensuring there are few harmful macroeconomic effects of increases in aid.
  • Beyond fragmentation and towards universal coverage: insights from Ghana, South Africa and the United Republic of Tanzania Policy and Practice

    McIntyre, Diane; Garshong, Bertha; Mtei, Gemini; Meheus, Filip; Thiede, Michael; Akazili, James; Ally, Mariam; Aikins, Moses; Mulligan, Jo-Ann; Goudge, Jane

    Resumo em Francês:

    L'Assemblée mondiale de la Santé de 2005 a appelé les systèmes de santé à évoluer vers la couverture de santé universelle, définie comme l'accès pour tous à des soins de santé appropriés à un prix abordable. Pour parvenir à la couverture universelle, un aspect essentiel est l'ampleur des subventions croisées entre les niveaux de risque et de revenu au sein des systèmes de santé. Néanmoins, cet aspect semble ignoré par la plupart des solutions politiques prescrites aux pays à revenu faible ou moyen, d'où souvent une importante fragmentation des systèmes de santé. L'objectif de cet article est d'étudier le degré de fragmentation des systèmes de santé de trois pays africains (Afrique du Sud, Ghana et République unie de Tanzanie). En utilisant un cadre pour analyser le financement des soins de santé selon ses principales fonctions, nous décrivons comment cette fragmentation s'est établie, comment chaque pays a tenté de faire face aux problèmes d'équité émergeants et ce qu'il reste à faire pour promouvoir la couverture universelle. D'après cette analyse, c'est l'Afrique du Sud qui a le moins progressé dans la correction de cette fragmentation, tandis que le Ghana semble engagé, de manière plus cohérente, dans une politique visant à établir la couverture universelle. Pour atteindre une telle couverture, les systèmes de santé doivent réduire leur dépendance à l'égard des débours directs par les ménages, répartir au maximum les risques et mettre en place des mécanismes d'allocation de ressources, destinés soit à niveler les risques entre les systèmes d'assurance individuels, soit à répartir équitablement les fonds généraux provenant de l'impôt (et de donateurs). Enfin, il faudrait obtenir une plus grande intégration entre les mécanismes financiers favorisant la couverture universelle et les importantes subventions croisées entre les niveaux de revenu et de risque au sein du système global de santé.

    Resumo em Espanhol:

    En la Asamblea Mundial de la Salud de 2005 se abogó por que todos los sistemas de salud avanzaran hacia la cobertura universal, definida como " el acceso a una atención de salud adecuada para todos a precios asequibles" . Un aspecto crucial para garantizar la cobertura universal es lo extendidas que estén las transferencias de subvenciones entre sectores con distintos ingresos y riesgos en el sistema de salud. No obstante, se diría que este aspecto se pasa por alto en muchas de las prescripciones normativas dirigidas a los países de ingresos bajos y medios, lo que se traduce a menudo en un alto grado de fragmentación de los sistemas sanitarios. El objetivo de este artículo es analizar el grado de fragmentación existente en los sistemas de salud de tres países africanos (Ghana, Sudáfrica y la República Unida de Tanzanía). Utilizando un marco de análisis de la financiación sanitaria basado en sus funciones esenciales, describimos cómo ha surgido la fragmentación, de qué manera ha intentado cada país abordar los problemas resultantes en materia de equidad, y las medidas que es necesario tomar aún para fomentar la cobertura universal. El análisis realizado lleva a pensar que Sudáfrica es el país que menos ha progresado para corregir la fragmentación, mientras que Ghana parece estar dando pasos hacia la cobertura universal de manera más sistemática. Para lograr esa cobertura, los sistemas de salud deben reducir su dependencia de los pagos directos y maximizar las dimensiones de los fondos de mancomunación del riesgo, y además deben implementarse mecanismos de asignación de recursos que tiendan ya sea a igualar los riesgos entre los planes de seguro individuales o a distribuir de forma equitativa los fondos recaudados mediante los impuestos generales (o aportados por los donantes). Finalmente, debe haber una mayor integración de los mecanismos de financiación para fomentar la cobertura universal mediante subvenciones diferenciales importantes en función de los ingresos y los riesgos en todo el sistema de salud.

    Resumo em Inglês:

    The World Health Assembly of 2005 called for all health systems to move towards universal coverage, defined as " access to adequate health care for all at an affordable price" . A crucial aspect in achieving universal coverage is the extent to which there are income and risk cross-subsidies in health systems. Yet this aspect appears to be ignored in many of the policy prescriptions directed at low- and middle-income countries, often resulting in high degrees of health system fragmentation. The aim of this paper is to explore the extent of fragmentation within the health systems of three African countries (Ghana, South Africa and the United Republic of Tanzania). Using a framework for analysing health-care financing in terms of its key functions, we describe how fragmentation has developed, how each country has attempted to address the arising equity challenges and what remains to be done to promote universal coverage. The analysis suggests that South Africa has made the least progress in addressing fragmentation, while Ghana appears to be pursuing a universal coverage policy in a more coherent way. To achieve universal coverage, health systems must reduce their reliance on out-of-pocket payments, maximize the size of risk pools, and resource allocation mechanisms must be put in place to either equalize risks between individual insurance schemes or equitably allocate general tax (and donor) funds. Ultimately, there needs to be greater integration of financing mechanisms to promote universal cover with strong income and risk cross-subsidies in the overall health system.
  • Are current debt relief initiatives an option for scaling up health financing in beneficiary countries? Policy and Practice

    Kaddar, M; Furrer, E

    Resumo em Francês:

    L'un des objectifs centraux de l'Initiative améliorée en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE) et de l'Initiative multilatérale pour l'allègement de la dette (MDRI), plus récente, est de dégager des ressources supplémentaires pour les dépenses publiques en faveur de la réduction de la pauvreté. Dans ce cadre, il est normal que le secteur de la santé bénéficie d'une part importante de ces fonds. Le volume des ressources dégagées est suffisant dans certains pays pour modifier la situation de programmes prioritaires jusque là sous-financés. Néanmoins, ces initiatives ne serviront à stimuler les dépenses de santé que si, au niveau mondial, les donateurs tiennent leurs engagements en termes d'aide et que si, au plan national, les responsables de la santé sont suffisamment convaincants pour obtenir une part appropriée du budget public supplémentaire. Leurs efforts d'argumentation se heurtent souvent à une situation d'information à sens unique. Certains ministères sont peu au courant des conséquences économiques de l'allègement de la dette sur les finances publiques et des systèmes en place pour gérer les économies résultant de cet allègement. Une compréhension approfondie de cette problématique semble indispensable aux avocats de la santé pour accroître leur pouvoir de négociation et pour qu'un public plus large réajuste ses attentes quant à ce que l'allègement de la dette peut réellement permettre et à ce qui peut être mesuré. Le présent article s'efforce de combler ce manque d'information en proposant une classification des systèmes en place en matière de gestion des économies réalisées avec l'allègement de la dette. Il illustre certains de leurs avantages importants et inconvénients déclarés et expose leurs implications politiques pour les responsables de la santé dans les pays concernés. Il convient de suivre de près la fongibilité (à savoir le risque de substitution de fonds sans possibilités de suivi ) et l'additionnalité des fonds (à savoir dans quelle mesure les nouveaux apports s'ajoutent aux apports nationaux et internationaux déjà existants).

    Resumo em Espanhol:

    Una meta fundamental de la Iniciativa mejorada para la reducción de la deuda de los países pobres muy endeudados (PPME) y de la más reciente Iniciativa Multilateral de Alivio de la Deuda (MDRI) consiste en liberar recursos adicionales para el gasto público dedicado a reducir la pobreza. Se esperaba que el sector de la salud se beneficiara de una parte considerable de esos fondos. El volumen de recursos liberados es en algunos países lo bastante importante para operar cambios reales en programas prioritarios que han estado subfinanciados hasta ahora. Sin embargo, el interés de estas iniciativas en cuanto a impulsar el gasto sanitario depende esencialmente, a nivel mundial, del cumplimiento por parte de los donantes de sus compromisos de ayuda y, a nivel nacional, de la eficacia con que los funcionarios de salud defiendan un reparto adecuado del espacio fiscal adicional. Los esfuerzos de promoción se ven limitados a menudo por una situación de asimetría de la información, pues algunos ministerios no son muy conscientes de las consecuencias económicas del alivio de la deuda en las finanzas públicas y de los sistemas de gestión implantados para manejar los ahorros derivados del alivio de la deuda. Una comprensión cabal de estas cuestiones parece esencial para dar más poder de negociación a los defensores de la salud y para que el público en general ajuste sus expectativas sobre lo que cabe esperar de forma realista del alivio de la deuda y sobre lo que es posible cuantificar. Este artículo aspira a colmar esa laguna de información clasificando los sistemas de gestión de los ahorros derivados del alivio de la deuda observados en la práctica. Ilustramos algunas de las principales ventajas e inconvenientes declarados y describimos las implicaciones normativas para los funcionarios de salud que operan en los países interesados. Es preciso seguir vigilando atentamente la fungibilidad (es decir, el riesgo de que unos fondos no rastreables se empleen en sustitución de otros) y la aditividad (es decir, la medida en que los nuevos insumos se añadan a los ya existentes a nivel nacional e internacional).

    Resumo em Inglês:

    One central goal of the enhanced Heavily Indebted Poor Countries (HIPC) Initiative and the more recent Multilateral Debt Relief Initiative (MDRI) is to free up additional resources for public spending on poverty reduction. The health sector was expected to benefit from a considerable share of these funds. The volume of released resources is important enough in certain countries to make a difference for priority programmes that have been underfunded so far. However, the relevance of these initiatives in terms of boosting health expenditure depends essentially, at the global level, on the compliance of donors with their aid commitments and, at the domestic level, on the success of health officials in advocating for an adequate share of the additional fiscal space. Advocacy efforts are often limited by a state of asymmetric information whereby some ministries are not well aware of the economic consequences of debt relief on public finances and of the management systems in place to deal with savings from debt relief. A thorough comprehension of these issues seems essential for health advocates to increase their bargaining power and for a wider public to readjust expectations of what debt relief can realistically achieve and of what can be measured. This paper intends to narrow the information gap by classifying debt relief savings management systems observed in practice. We illustrate some of the major advantages and stated drawbacks and outline the policy implications for health officials operating in the countries concerned. There should be careful monitoring of fungibility (i.e. where untraceable funds risk substitution) and additionality (i.e. the extent to which new inputs add to existing inputs at national and international level).
  • Resource allocation and purchasing in the health sector: the English experience Policy and Practice

    Smith, Peter C

    Resumo em Francês:

    Le Royaume-Uni de Grande Bretagne et l'Irlande du Nord disposent d'une expérience étendue dans l'allocation de fonds destinés aux services de santé aux régions et aux localités à l'aide de formules de financement. Le présent article se concentre sur le cas de l'Angleterre. Il s'intéresse plus particulièrement au souci politique récemment exprimé de réduire les inégalités évitables en termes de santé en élargissant le champ d'application des formules de financement. Il examine également les problèmes qui apparaissent lorsque l'on tente d'allouer des fonds à des unités organisationnelles très petites, telles que les cabinets de médecine générale. L'exemple anglais intéresse les systèmes de santé moins développés, en particulier ceux que les gouvernements cherchent à décentraliser, en vue d'une responsabilisation et d'une équité plus grandes.

    Resumo em Espanhol:

    El Reino Unido de Gran Bretaña e Irlanda del Norte tiene una vasta experiencia de uso de fórmulas de financiación en la asignación de fondos para servicios de salud a regiones y localidades. Este artículo se centra en el caso de Inglaterra. Se presta especial atención al reciente interés que en materia de políticas suscita la posibilidad de reducir las desigualdades evitables ampliando el alcance de las fórmulas de asignación de recursos. En el artículo se analizan también las cuestiones que se plantean cuando se intenta asignar fondos a unidades organizacionales muy pequeñas, como los consultorios generales. El ejemplo de Inglaterra reviste interés para otros sistemas de salud menos desarrollados, especialmente para los gobiernos que aspiran a descentralizar la atención, mejorar la rendición de cuentas y fomentar la equidad.

    Resumo em Inglês:

    The United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland has extensive experience in allocating health service funds to regions and localities using funding formulae. This paper focuses on England. Special attention is given to recent policy concerns to reduce avoidable health inequalities by broadening the remit of the resource allocation formulae. The paper also examines the issues that arise when seeking to allocate funds to very small organizational units, such as general practices. The English example is relevant to less-developed health systems, especially for those governments seeking to decentralize, to improve accountability and to promote equity.
  • Can countries of the WHO African Region wean themselves off donor funding for health? Round Table

    Kirigia, Joses Muthuri; Diarra-Nama, Alimata J

    Resumo em Francês:

    Plus de 20 % des dépenses totales de santé de 48 % des 46 pays de la Région africaine de l'OMS sont financés par des sources externes. La problématique liée à l'efficacité de l'aide internationale amène à penser que ces pays devraient mettre en œuvre des stratégies pour s'affranchir de leur dépendance à l'égard de cette aide. L'article examine quelles stratégies pourraient être appliquées par les pays de la Région pour se passer des donateurs dans le financement de la santé. Cinq de ces stratégies sont analysées : amélioration des insuffisances sur le plan économique, révision des priorités des dépenses de santé, collecte de revenus fiscaux supplémentaires, implication accrue du secteur privé dans le développement de la santé et lutte contre la corruption.

    Resumo em Espanhol:

    Más del 20% del gasto sanitario total del 48% de los 46 países de la Región de África de la OMS se financia a partir de fuentes externas. Diversos aspectos relacionados con la eficacia de la ayuda parecen indicar que estos países deberían aplicar estrategias que les permitieran acabar con esa dependencia de la ayuda externa. En este artículo se plantea la siguiente cuestión: ¿qué estrategias podrían emplear los países de la región a fin de dejar de depender de los donantes para financiar la salud? Se examinan cinco estrategias: reducción de las ineficiencias económicas; repriorización del gasto público; aumento de la recaudación de ingresos fiscales; aumento de la participación del sector privado en el desarrollo sanitario; y lucha contra la corrupción.

    Resumo em Inglês:

    More than 20% of total health expenditure in 48% of the 46 countries in the WHO African Region is provided by external sources. Issues surrounding aid effectiveness suggest that these countries ought to implement strategies for weaning off aid dependency. This paper broaches the following question: what are some of the strategies that countries of the region can employ to wean off donor funding for health? Five strategies are discussed: reduction in economic inefficiencies; reprioritizing public expenditures; raising additional tax revenues; increased private sector involvement in health development; and fighting corruption.
  • Impossible to "wean" when more aid is needed Round Table

    Ooms, Gorik; Damme, Wim Van
  • Response to Ooms and Van Damme Round Table

    Kirigia, Joses Muthuri; Diarra-Nama, Alimata J
  • The role of aid in the long term Round Table

    Masiye, Felix
  • Financing health promotion in Japan and Mongolia Perspectives

    Bayarsaikhan, Dorjsuren
  • Can earmarking mobilize and sustain resources to the health sector? Perspectives

    Prakongsai, Phusit; Patcharanarumol, Walaiporn; Tangcharoensathien, Viroj
  • Constraints and obstacles to social health protection in the Maghreb: the cases of Algeria and Morocco Perspectives

    El-Idrissi, Driss Zine-Eddine; Miloud, Kaddar; Belgacem, Sabri
  • Documento sem título

    Mathonnat, Jacky
  • Documento sem título

    Ryman, Tove; Dietz, Vance
  • Documento sem título

    Nisar, Yasir Bin
  • Documento sem título

    Wei, Feng
  • Documento sem título

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