• In this month's bulletin In This Month´s Bulletin

  • Legalization as an institutional choice in the context of research and development Editorials

    McGrady, Benn
  • Towards a new model for pharmaceutical research Editorials

    Correa, Carlos M
  • Balancing options for health research and development Editorials

    Love, James
  • Putting health policy and systems research on the map Editorials

    Ghaffar, Abdul; Tran, Nhan; Kieny, Marie-Paule; Etienne, Carissa
  • Public health round-up News

  • Push needed for pandemic planning News

  • New era for organ donation and transplant in China News

  • Performance of case definitions used for influenza surveillance among hospitalized patients in a rural area of India Research

    Hirve, Siddhivinayak; Chadha, Mandeep; Lele, Pallavi; Lafond, Kathryn E; Deoshatwar, Avinash; Sambhudas, Somnath; Juvekar, Sanjay; Mounts, Anthony; Dawood, Fatimah; Lal, Renu; Mishra, Akhilesh

    Resumo em Francês:

    RÉSUMÉ OBJECTIF: Évaluer les définitions de cas de grippe dans une collectivité rurale en Inde. MÉTHODES: On a inclus les habitants de la zone de l'étude, qui ont été hospitalisés pour toute affection médicale aiguë pendant au moins une nuit entre mai 2009 et avril 2011. Des échantillons respiratoires ont été collectés et testés pour les virus grippaux par une transcription inverse - réaction en chaîne par polymérase (PCR). Les résultats de la PCR ont été pris comme étalon pour l'évaluation des résultats des définitions de cas. RÉSULTATS: Sur les 3179 patients inclus dans l'analyse finale, 21% (665) étaient PCR-positifs au virus de la grippe, 96% déclaraient de la fièvre et 4% un essoufflement. La définition de cas par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) du syndrome respiratoire aigu sévère présentait une sensibilité de 11% chez les patients âgés de moins de 5 ans et de 3% chez les patients plus âgés. Lorsque l'essoufflement était exclu de la définition, la sensibilité augmentait (69% et 70%, respectivement) et des spécificités correspondantes de 43% et 53% étaient enregistrées. Chez les patients âgés de 5 ans et plus, la définition de cas par l'OMS du syndrome grippal présentait une sensibilité de 70% et une spécificité de 53%. L'ajout de la «toux et d'une fièvre déclarée ou mesurée» augmentait la sensibilité à 80%, mais diminuait la spécificité à 42%. CONCLUSION: La prise en compte de l'essoufflement dans la définition de cas par l'OMS du syndrome respiratoire aigu sévère peut sous-estimer lourdement la charge que représente la grippe dans les hôpitaux. L'exclusion de l'essoufflement de cette définition ou, de manière alternative, l'inclusion de la «toux et d'une fièvre mesurée ou déclarée» peut améliorer les estimations de la charge.

    Resumo em Espanhol:

    RESUMEN OBJETIVO: Evaluar las definiciones de los casos de gripe en una comunidad rural en India. MÉTODOS: Se inscribió a los residentes del área de estudio hospitalizados durante al menos una noche por cualquier dolencia aguda entre mayo del 2009 y abril del 2011. Se recogieron muestras respiratorias a las que se efectuó una prueba por medio de una reacción en cadena de la polimerasa (RCP) para determinar la presencia del virus de la gripe. Los resultados de la RCP se tomaron como «prueba de oro» para evaluar la realización de varias definiciones de casos. RESULTADOS: De los 3179 pacientes incluidos en el análisis final, el 21% (665) dio positivo en la RCP para el virus de la gripe, el 96% declaró tener fiebre y el 4%, dificultad para respirar. La definición de caso de la Organización Mundial de la Salud (OMS) para las afecciones respiratorias agudas graves tuvo una sensibilidad del 11% entre los pacientes menores de cinco años y del 3% entre pacientes de más edad. La sensibilidad aumentó (al 69% y al 70%, respectivamente) y se registraron particularidades correspondientes del 43% y 53% cuando se excluyó la dificultad respiratoria de la definición. Entre los pacientes con edades inferiores a 5 años, la definición de la OMS de los casos de síndrome gripal presentó una sensibilidad del 70% y una particularidad del 53%. La sensibilidad aumentó hasta el 80% cuando se añadió «tos y fiebre declarada o medida», sin embargo, la particularidad descendió hasta el 42%. CONCLUSIÓN: Incluir la dificultad para respirar en la definición de caso de la OMS para la afección respiratoria aguda grave podría subestimar en extremo la carga que la gripe representa en los hospitales. Excluir la dificultad para respirar de dicha definición o, de manera alternativa, incluir la «tos y fiebre declarada o medida» podría mejorar el cálculo de la carga

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess case definitions for influenza in a rural community in India. METHODS: Residents of the study area who were hospitalized for any acute medical condition for at least one night between May 2009 and April 2011 were enrolled. Respiratory specimens were collected and tested for influenza viruses in a reverse-transcription polymerase chain reaction (PCR). The PCR results were taken as the "gold standard" in evaluating the performance of several case definitions. FINDINGS: Of the 3179 patients included in the final analysis, 21% (665) were PCR-positive for influenza virus, 96% reported fever and 4% reported shortness of breath. The World Health Organization (WHO) case definition for severe acute respiratory illness had a sensitivity of 11% among patients aged < 5 years and of 3% among older patients. When shortness of breath was excluded from the definition, sensitivities increased (to 69% and 70%, respectively) and corresponding specificities of 43% and 53% were recorded. Among patients aged ≥ 5 years, WHO's definition of a case of influenza-like illness had a sensitivity of 70% and a specificity of 53%. The addition of "cough and reported or measured fever" increased sensitivity to 80% but decreased specificity to 42%. CONCLUSION: The inclusion of shortness of breath in WHO's case definition for severe acute respiratory illness may grossly underestimate the burden posed by influenza in hospitals. The exclusion of shortness of breath from this definition or, alternatively, the inclusion of "cough and measured or reported fever" may improve estimates of the burden.
  • Economic evaluation of a task-shifting intervention for common mental disorders in India Research

    Buttorff, Christine; Hock, Rebecca S; Weiss, Helen A; Naik, Smita; Araya, Ricardo; Kirkwood, Betty R; Chisholm, Daniel; Patel, Vikram

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Réaliser une évaluation économique d'une intervention de transfert de tâches dans le cadre du traitement des troubles dépressifs et anxieux dans les établissements de soins primaires à Goa, en Inde. MÉTHODES: Des analyses de coût-utilité et coût-efficacité basées sur des modèles linéaires généralisés ont été effectuées dans le cadre d'un essai organisé dans 24 établissements publics et privés de soins primaires. Les sujets ont été répartis de manière aléatoire entre groupe d'intervention ou groupe témoin. Les sujets du groupe d'intervention ont bénéficié d'une psychoéducation, de la gestion de cas, d'une psychothérapie interpersonnelle et/ou d'antidépresseurs de la part d'agents de santé non professionnels. Les sujets du groupe témoin ont été traités par des médecins. L'utilisation des ressources de santé, le handicap de chaque sujet et le degré de morbidité psychiatrique, tel que mesuré par le Programme d'entretien clinique révisé, ont été déterminés à 2, 6 et 12 mois. RÉSULTATS: Les données complètes de chacun des trois suivis ont été recueillies pour 1243 (75,4%) et 938 (81,7%) des sujets inscrits dans les établissements publics et privés, respectivement. Dans les établissements publics, les sujets du groupe d'intervention connaissaient une amélioration plus importante de tous les résultats sanitaires étudiés que les sujets du groupe témoin. Les coûts en termes de temps étaient également significativement plus faibles dans le groupe d'intervention que dans le groupe témoin, alors que les coûts du système de santé dans les deux groupes étaient similaires. Dans les établissements privés, cependant, l'efficacité et les coûts enregistrés dans les deux groupes étaient similaires. CONCLUSION: Dans les établissements publics de soins primaires à Goa, le recours à des agents de santé non professionnels pour la prise en charge des sujets atteints de troubles mentaux communs était non seulement efficace en termes de coût, mais aussi plus économique.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Realizar una evaluación económica de una intervención de delegación de tareas para el tratamiento de trastornos depresivos y de ansiedad en entornos de atención primaria en Goa, India. MÉTODOS: Se llevaron a cabo análisis de la relación coste-utilidad y coste-eficacia basados en modelos lineales generalizados en un ensayo realizado en 24 centros de atención primaria tanto públicos como privados. De manera aleatoria, se asignó a los sujetos un brazo de intervención o otro de control. Empleados sanitarios no profesionales proporcionaron psicoeducación, tratamiento del caso, psicoterapia interpersonal y/o antidepresivos a los sujetos que reunían los requisitos necesarios en el brazo de intervención. Los sujetos en el brazo de control fueron tratados por médicos. Se determinó el uso de recursos para la atención sanitaria, la discapacidad de cada sujeto y el grado de morbilidad psiquiátrica, según lo evaluado por la versión revisada del instrumento de entrevista clínica (CIS-R), a los 2, 6 y 12 meses. RESULTADOS: De los tres seguimientos, se recogieron los datos completos de 1243 (75,4%) y 938 (81,7%) de los sujetos inscritos, respectivamente, en los centros de estudio públicos y privados. En los centros públicos, los sujetos en el brazo de intervención mostraron una mejora superior que los del brazo de control en todos los resultados sanitarios que se investigaron. Los costes de mantenimiento también fueron notablemente inferiores en el brazo de intervención que en el de control, mientras que los costes para el sistema de salud fueron similares en los dos brazos. En los centros privados, sin embargo, la eficacia y los costes registrados fueron similares para los dos brazos. CONCLUSIÓN: El uso de empleados sanitarios no profesionales en los centros de atención primaria públicos en Goa para el cuidado de sujetos con trastornos metales comunes no sólo fue efectivo en relación con los costes sino que también supuso un ahorro.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To carry out an economic evaluation of a task-shifting intervention for the treatment of depressive and anxiety disorders in primary-care settings in Goa, India. METHODS: Cost-utility and cost-effectiveness analyses based on generalized linear models were performed within a trial set in 24 public and private primary-care facilities. Subjects were randomly assigned to an intervention or a control arm. Eligible subjects in the intervention arm were given psycho-education, case management, interpersonal psychotherapy and/or antidepressants by lay health workers. Subjects in the control arm were treated by physicians. The use of health-care resources, the disability of each subject and degree of psychiatric morbidity, as measured by the Revised Clinical Interview Schedule, were determined at 2, 6 and 12 months. FINDINGS: Complete data, from all three follow-ups, were collected from 1243 (75.4%) and 938 (81.7%) of the subjects enrolled in the study facilities from the public and private sectors, respectively. Within the public facilities, subjects in the intervention arm showed greater improvement in all the health outcomes investigated than those in the control arm. Time costs were also significantly lower in the intervention arm than in the control arm, whereas health system costs in the two arms were similar. Within the private facilities, however, the effectiveness and costs recorded in the two arms were similar. CONCLUSION: Within public primary-care facilities in Goa, the use of lay health workers in the care of subjects with common mental disorders was not only cost-effective but also cost-saving.
  • Parental perceptions surrounding polio and self-reported non-participation in polio supplementary immunization activities in Karachi, Pakistan: a mixed methods study Research

    Khowaja, Asif Raza; Khan, Sher Ali; Nizam, Naveeda; Omer, Saad Bin; Zaidi, Anita

    Resumo em Francês:

    RÉSUMÉ OBJECTIF: Évaluer les connaissances et les perceptions des parents relatives à la polio et à la vaccination contre la polio, la participation autodéclarée à des activités de vaccination supplémentaires (AVS) contre la polio ciblant des enfants âgés de moins de 5 ans, mais aussi les raisons justifiant la non-participation. MÉTHODES: L'étude des méthodes mixtes a commencé par une enquête transversale à Karachi, au Pakistan. Un questionnaire structuré a été distribué afin d'évaluer les connaissances parentales relatives à la polio et à la participation aux AVS contre la polio, en septembre et octobre 2011. En outre, 30 parents d'origine ethnique pachtoune (un groupe à haut risque) ayant refusé de faire vacciner leurs enfants ont été interrogés de manière approfondie afin de déterminer les raisons de leur refus. Des analyses descriptives et bivariées par groupe ethnique et groupe socio-économique ont été réalisées pour les données quantitatives. Et une analyse thématique des entretiens qualitatifs avec les parents pachtounes a été effectuée. RÉSULTATS: Sur 1017 parents interrogés, 412 (41%) n'avaient jamais entendu parler de la polio, 132 (13%) n'avaient pas participé à une AVS et 157 (15,4%) n'avaient participé à aucune AVS. Parmi les non-participants, 34 (21,6%) ont déclaré ne pas avoir été contactés par un vaccinateur, 116 (73,9%) ont déclaré avoir refusé de participer, et 7 (4,5%) ont déclaré que l'enfant n'était pas à la maison lors de la visite du vaccinateur. Les refus se concentraient dans les familles pachtounes à faible revenu (43/441; 9,8%) et dans celles à revenu élevé de toute origine ethnique (71/153; 46,4%). Les Pachtounes possédant un faible revenu étaient plus susceptibles de ne pas avoir participé à des AVS contre la polio que les non-Pachtounes possédant un faible revenu (rapport des cotes, RC: 7,1; intervalle de confiance, IC de 95%: 3,47 à 14,5). Les raisons souvent citées par les Pachtounes pour le refus de la vaccination incluaient la peur de la stérilité, le manque de confiance dans le vaccin contre la polio, le scepticisme à l'égard du programme de vaccination et la crainte que le vaccin puisse contenir des ingrédients interdits par la religion. CONCLUSION: À Karachi, l'interruption de la transmission de la polio nécessite des interventions communautaires intégrées et participatives, ciblant les populations à risque élevé.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Evaluar el conocimiento y las percepciones de los padres en torno a la poliomielitis y la vacuna antipoliomielítica, la participación en las actividades suplementarias de inmunización antipoliomielítica (ASI) para niños menores de 5 años y las razones por las que no se participó en ellas. MÉTODOS: El estudio de métodos mixtos comenzó con una encuesta transversal en Karachi, Pakistán. Se proporcionó un cuestionario estructurado para evaluar el conocimiento de los padres acerca de la poliomielitis y la participación en ASI antipoliomielíticas llevadas a cabo en septiembre y octubre de 2011. Con objeto de determinar el porqué, se entrevistaron de manera adicional a 30 padres de etnia pastún (grupo de alto riesgo) que se negaron a vacunar a sus hijos. Se llevaron a cabo análisis descriptivos y divariados según el grupo étnico y socioeconómico para obtener datos cuantitativos y se realizaron análisis temáticos para obtener entrevistas cualitativas con padres de etnia pastún. RESULTADOS: De los 1017 padres encuestados, 412 (41%) nunca habían oído hablar de la poliomielitis, 132 (13%) no habían participado en una ASI y 157 (15,4%) no habían participado en ninguna ASI. Entre los que no habían participado, 34 (21,6%) notificaron que el vacunador no se había puesto en contacto con ellos, 116 (73,9%) informaron que se habían negado a participar y 7 (4,5%) que el niño no estaba en casa cuando el vacunador realizó la visita. Las negativas se agruparon en las familias pastunes con ingresos bajos (43/441; 9,8%) y familias con ingresos altos de cualquier grupo étnico (71/153; 46,4%). La probabilidad de que los pastunes con ingresos bajos no hubieran participado en ASI antipoliomielíticas fue más alta que entre los grupos no pastunes con ingresos bajos (razón de posibilidades, OR: 7,1; intervalo de confianza (CI) del 95%: 3,47-14,5). Las razones citadas más comúnmente entre los pastunes para rechazar la vacunación incluyeron el temor a quedar estériles, la falta de confianza en la vacuna antipoliomielítica, el escepticismo acerca del programa de inmunización y el temor a que la vacuna pudiera contener ingredientes prohibidos por su religión. CONCLUSIÓN: La interrupción de la transmisión de la poliomielitis en Karachi exige intervenciones comunitarias integradas y participativas que tengan como objetivo las poblaciones de alto riesgo

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess parent's knowledge and perceptions surrounding polio and polio vaccination, self-reported participation in polio supplementary immunization activities (SIAs) targeting children aged < 5 years, and reasons for non-participation. METHODS: The mixed methods study began with a cross-sectional survey in Karachi, Pakistan. A structured questionnaire was administered to assess parental knowledge of polio and participation in polio SIAs conducted in September and October 2011. Additionally, 30 parents of Pashtun ethnicity (a high-risk group) who refused to vaccinate their children were interviewed in depth to determine why. Descriptive and bivariate analyses by ethnic and socioeconomic group were performed for quantitative data; thematic analysis was conducted for qualitative interviews with Pashtun parents. FINDINGS: Of 1017 parents surveyed, 412 (41%) had never heard of polio; 132 (13%) did not participate in one SIA and 157 (15.4%) did not participate in either SIA. Among non-participants, 34 (21.6%) reported not having been contacted by a vaccinator; 116 (73.9%) reported having refused to participate, and 7 (4.5%) reported that the child was absent from home when the vaccinator visited. Refusals clustered in low-income Pashtun (43/441; 9.8%) and high-income families of any ethnic background (71/153; 46.4%). Low-income Pashtuns were more likely to not have participated in polio SIAs than low-income non-Pashtuns (odds ratio, OR: 7.1; 95% confidence interval, CI: 3.47-14.5). Reasons commonly cited among Pashtuns for refusing vaccination included fear of sterility; lack of faith in the polio vaccine; scepticism about the vaccination programme, and fear that the vaccine might contain religiously forbidden ingredients. CONCLUSION: In Karachi, interruption of polio transmission requires integrated and participatory community interventions targeting high-risk populations.
  • Understanding the modes of transmission model of new HIV infection and its use in prevention planning Policy and Practice

    Case, Kelsey K; Ghys, Peter D; Gouws, Eleanor; Eaton, Jeffrey W; Borquez, Annick; Stover, John; Cuchi, Paloma; Abu-Raddad, Laith J; Garnett, Geoffrey P; Hallett, Timothy B

    Resumo em Francês:

    RÉSUMÉ Le modèle de modes de transmission a été largement utilisé pour aider les décideurs à cibler les mesures empêchant l'infection par le virus d'immunodéficience humaine (VIH). Le modèle estime le nombre de nouvelles infections par le VIH au cours de l'année suivante, contractées par des individus appartenant aux groupes à risque identifiés d'une population donnée, en utilisant des données sur la taille des groupes, le comportement à risque global de chaque groupe, la prévalence actuelle de l'infection par le VIH entre partenaires sexuels ou d'injection de drogues de chaque groupe, et la probabilité de transmission du VIH associée aux divers comportements à risque. La force du modèle réside dans sa simplicité, permettant de synthétiser des données provenant d'une variété de sources, ce qui donne une meilleure caractérisation de l'épidémie du VIH dans certains contextes. Toutefois, des problèmes ont été relevés concernant les hypothèses qui sous-tendent la structure du modèle, les limites des données disponibles pour obtenir les paramètres d'entrée, ainsi que l'interprétation et la communication des résultats du modèle. L'objectif de la présente étude était d'améliorer l'utilisation du modèle en réévaluant son paradigme, sa structure et ses exigences en termes de données. Nous avons identifié les principales questions à poser lors de l'analyse et de l'interprétation des résultats du modèle, et nous faisons des recommandations visant à renforcer l'application du modèle à l'avenir.

    Resumo em Espanhol:

    El modelo de los modos de transmisión se ha empleado de manera generalizada para ayudar a los responsables de la toma de decisiones a dirigir las medidas para la prevención de la infección por el virus de la inmunodeficiencia humana (VIH). El modelo calcula el número de infecciones por VIH nuevas adquiridas durante el año subsiguiente por individuos en grupos de riesgo identificados en una población dada empleando datos acerca del tamaño de los grupos, el comportamiento de riesgo conjunto en cada grupo, la prevalencia actual de la infección por VIH entre las parejas sexuales o personas que comparten jeringuillas para el consumo de drogas de los individuos de cada grupo y la probabilidad de trasmitir el VIH asociada a los diferentes comportamientos de riesgo. El punto fuerte del modelo es su sencillez, que permite sintetizar datos de fuentes variadas, de lo que resulta una caracterización más exacta de la epidemia del VIH en algunos entornos. No obstante, han surgido dudas acerca de las suposiciones que subyacen a la estructura del modelo, las limitaciones de los datos disponibles para derivar de ellos parámetros de entrada y la interpretación y comunicación de los resultados del modelo. El objeto de este examen fue el de mejorar el uso del modelo volviendo a examinar su paradigma, su estructura y los requisitos de los datos. Identificamos los puntos clave que deben cuestionarse durante la realización de un análisis y la interpretación de los resultados del modelo y formulamos recomendaciones para consolidar la aplicación del modelo en el futuro

    Resumo em Inglês:

    The modes of transmission model has been widely used to help decision-makers target measures for preventing human immunodeficiency virus (HIV) infection. The model estimates the number of new HIV infections that will be acquired over the ensuing year by individuals in identified risk groups in a given population using data on the size of the groups, the aggregate risk behaviour in each group, the current prevalence of HIV infection among the sexual or injecting drug partners of individuals in each group, and the probability of HIV transmission associated with different risk behaviours. The strength of the model is its simplicity, which enables data from a variety of sources to be synthesized, resulting in better characterization of HIV epidemics in some settings. However, concerns have been raised about the assumptions underlying the model structure, about limitations in the data available for deriving input parameters and about interpretation and communication of the model results. The aim of this review was to improve the use of the model by reassessing its paradigm, structure and data requirements. We identified key questions to be asked when conducting an analysis and when interpreting the model results and make recommendations for strengthening the model's application in the future.
  • Arsenic in tube well water in Bangladesh: health and economic impacts and implications for arsenic mitigation Policy and Practice

    Flanagan, Sara V; Johnston, Richard B; Zheng, Yan

    Resumo em Francês:

    Une enquête nationale sur la qualité de l'eau potable, menée en 2009, a fourni des données qui ont été utilisées pour faire une estimation actualisée de l'exposition chronique à l'arsenic au Bangladesh. On a découvert qu'environ 20 et 45 millions de personnes étaient exposées à des concentrations supérieures à la norme nationale de 50 µg/l et à la valeur indicative de 10 µg/l de l'Organisation mondiale de la Santé, respectivement. À partir des données d'exposition actualisées et des ratios de risque de mortalité toutes causes confondues, sur la base d'études épidémiologiques locales, on a estimé que l'exposition à des concentrations d'arsenic supérieures à 50 µg/l et entre 10-50 µg/l étaient à l'origine de 24 000, voire jusqu'à 19 000 décès annuels d'adultes dans le pays, respectivement. L'exposition varie considérablement dans les 64 districts. Chez les adultes, les décès associés à l'arsenic représentaient 0% à 15% de tous les décès. Un taux de mortalité associé à l'arsenic de 1 pour 18 décès d'adultes pourrait représenter au cours des 20 prochaines années un fardeau économique de 13 milliards de dollars américains (USD), en termes de perte de productivité seulement. La diminution de la quantité d'arsenic doit suivre une approche à deux niveaux: (i) considérer comme prioritaire la fourniture d'eau potable à environ 5 millions de personnes exposées à plus de 200 µg/l d'arsenic, et (ii) générer la capacité locale à effectuer des tests sur la teneur en arsenic. L'efficacité d'une telle approche a été démontrée lors du programme national 2006-2011 du Fonds des Nations unies pour l'enfance, qui a fourni de l'eau potable à des zones contaminées par l'arsenic, pour un coût de 11 USD par habitant. L'application à l'échelle nationale d'une telle approche coûterait quelques centaines de millions de dollars, mais permettrait d'améliorer la santé et la productivité de la population, en particulier pour les générations futures.

    Resumo em Espanhol:

    Una encuesta nacional sobre la calidad del agua potable llevada a cabo en 2009 proporcionó los datos que se emplearon para realizar un cálculo actualizado de la exposición crónica al arsénico en Bangladesh. Se descubrió que aproximadamente 20 millones de personas están expuestas a concentraciones superiores al nivel nacional de 50 µg/L y unos 45 millones a concentraciones por encima del valor de referencia de la Organización Mundial de la Salud de 10 µg/L. Partiendo de los datos actualizados sobre la exposición y los cocientes de riesgo de mortalidad por todas las causas basados en estudios epidemiológicos, se calculó que la exposición al arsénico en concentraciones superiores a 50 µg/L y entre 10-50 µg/L causan, respectivamente, 24 000 y hasta 19 000 muertes entre los adultos en el país. La exposición varía mucho en los 64 distritos. Entre las personas adultas, los fallecimientos relacionados con el arsénico explican entre el 0 y el 15% de todas las muertes. La tasa de mortalidad por arsénico de 1 de cada 18 adultos podría representar una carga económica de 13 mil millones de dólares estadounidenses (US$) en productividad perdida en los próximos 20 años. La mitigación de los efectos del arsénico debería seguir un enfoque de dos niveles: (i) priorizar el suministro de agua salubre a aproximadamente 5 millones de personas expuestas a niveles de arsénico superiores a 200 µg/L, y (ii) construir centros locales con capacidad para realizar análisis de arsénico. La eficacia de tal enfoque quedó demostrada durante el programa por países 2006-2011 del Fondo de las Naciones Unidas para la infancia, que suministró agua salubre a las áreas contaminadas con arsénico con un coste de US$ 11 per cápita. La ampliación de semejante enfoque a nivel nacional costaría algunos cientos millones de dólares estadounidenses, pero mejoraría la salud y productividad de la población, sobre todo de las generaciones futuras

    Resumo em Inglês:

    A national drinking water quality survey conducted in 2009 furnished data that were used to make an updated estimate of chronic arsenic exposure in Bangladesh. About 20 million and 45 million people were found to be exposed to concentrations above the national standard of 50 µg/L and the World Health Organization's guideline value of 10 µg/L, respectively. From the updated exposure data and all-cause mortality hazard ratios based on local epidemiological studies, it was estimated that arsenic exposures to concentrations > 50 µg/L and 10-50 µg/L account for an annual 24 000 and perhaps as many as 19 000 adult deaths in the country, respectively. Exposure varies widely in the 64 districts; among adults, arsenic-related deaths account for 0-15% of all deaths. An arsenic-related mortality rate of 1 in every 18 adult deaths could represent an economic burden of 13 billion United States dollars (US$) in lost productivity alone over the next 20 years. Arsenic mitigation should follow a two-tiered approach: (i) prioritizing provision of safe water to an estimated 5 million people exposed to > 200 µg/L arsenic, and (ii) building local arsenic testing capacity. The effectiveness of such an approach was demonstrated during the United Nations Children's Fund 2006-2011 country programme, which provided safe water to arsenic-contaminated areas at a cost of US$ 11 per capita. National scale-up of such an approach would cost a few hundred million US dollars but would improve the health and productivity of the population, especially in future generations.
  • Use of evidence to support healthy public policy: a policy effectiveness-feasibility loop Policy and Practice

    Bowman, Sarah; Unwin, Nigel; Critchley, Julia; Capewell, Simon; Husseini, Abdullatif; Maziak, Wasim; Zaman, Shahaduz; Romdhane, Habiba Ben; Fouad, Fouad; Phillimore, Peter; Unal, Belgin; Khatib, Rana; Shoaibi, Azza; Ahmad, Balsam

    Resumo em Francês:

    La politique publique joue un rôle clé dans l'amélioration de la santé de la population et dans la lutte contre les maladies, notamment les maladies non transmissibles. Il a cependant été difficile de mettre en œuvre une approche fondée sur des preuves pour formuler une politique publique saine, en partie en raison des barrières qui entravent le travail intégré entre chercheurs et décideurs. Cet article décrit une «boucle entre efficacité et faisabilité d'une politique» (PEFL) réunissant la modélisation épidémiologique, l'analyse de la situation locale et l'évaluation des options afin de favoriser la collaboration entre chercheurs et décideurs. La modélisation épidémiologique explore les déterminants des évolutions de maladie et les avantages sanitaires potentiels résultant de leur modification. L'analyse de situation étudie la conceptualisation actuelle de la politique, le niveau de conscience politique et l'engagement des principaux intervenants, et ce qui se passe réellement dans la pratique, aidant ainsi à identifier les lacunes de la politique. L'évaluation des options intègre la modélisation épidémiologique et l'analyse de situation pour étudier la faisabilité, les coûts et les avantages sanitaires potentiels de diverses options politiques. Les auteurs montrent comment la PEFL a été utilisée dans un projet visant à éclairer la politique publique sur la prévention des maladies cardiovasculaires et du diabète dans quatre régions de la Méditerranée orientale. Ils concluent que la PEFL peut offrir un cadre utile, permettant aux chercheurs et aux décideurs de réussir à travailler ensemble pour créer une politique basée sur des preuves, et ils encouragent une évaluation plus approfondie de cette approche.

    Resumo em Espanhol:

    Las políticas públicas desempeñan un papel fundamental en la mejora de la salud de la población y el control de enfermedades, incluidas las enfermedades no transmisibles. Sin embargo, ha sido difícil implementar un enfoque basado en datos probatorios para formular una política sanitaria pública, debido en parte a los obstáculos que impiden el trabajo integrado entre investigadores y legisladores. El presente documento describe una política de circuito cerrado eficacia-viabilidad (PEFL, por sus siglas en inglés) que reúne la modelización epidemiológica, el análisis de la situación local y la valoración de las opciones para promover la colaboración entre investigadores y legisladores. El modelo epidemiológico examina los factores determinantes de las tendencias de una enfermedad y los beneficios sanitarios posibles resultantes de una modificación de los mismos. El análisis de la situación investiga la conceptualización actual de la política, el nivel de conciencia y compromiso con esa política entre las partes clave interesadas y lo que sucede en la práctica, ayudando, por tanto, a identificar las lagunas en la política. La valoración de las opciones integra el modelo epidemiológico y el análisis de la situación para averiguar la viabilidad, los costes y los beneficios sanitarios posibles de varias políticas posibles. Los autores ilustran cómo se empleó el PEFL en un proyecto para informar acerca de una política pública para la prevención de enfermedades cardiovasculares y diabetes en cuatro áreas del Mediterráneo Oriental. Concluyen que el PEFL puede ofrecer un marco útil a los investigadores y legisladores para trabajar con éxito juntos con objeto de crear una política basada en datos probatorios, y animan a seguir evaluando dicho enfoque

    Resumo em Inglês:

    Public policy plays a key role in improving population health and in the control of diseases, including non-communicable diseases. However, an evidence-based approach to formulating healthy public policy has been difficult to implement, partly on account of barriers that hinder integrated work between researchers and policy-makers. This paper describes a "policy effectiveness-feasibility loop" (PEFL) that brings together epidemiological modelling, local situation analysis and option appraisal to foster collaboration between researchers and policy-makers. Epidemiological modelling explores the determinants of trends in disease and the potential health benefits of modifying them. Situation analysis investigates the current conceptualization of policy, the level of policy awareness and commitment among key stakeholders, and what actually happens in practice, thereby helping to identify policy gaps. Option appraisal integrates epidemiological modelling and situation analysis to investigate the feasibility, costs and likely health benefits of various policy options. The authors illustrate how PEFL was used in a project to inform public policy for the prevention of cardiovascular diseases and diabetes in four parts of the eastern Mediterranean. They conclude that PEFL may offer a useful framework for researchers and policy-makers to successfully work together to generate evidence-based policy, and they encourage further evaluation of this approach.
  • Assessing implementation mechanisms for an international agreement on research and development for health products Policy and Practice

    Hoffman, Steven J; Røttingen, John-Arne

    Resumo em Francês:

    Les États membres de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) débattent actuellement du fond et de la forme d'un accord international visant à améliorer le financement et la coordination de la recherche et du développement (R&D) des produits de santé qui répondent aux besoins des pays en développement. Outre l'examen du contenu d'un éventuel accord juridique ou politique, les États membres peuvent juger utile de réfléchir sur la gamme complète des mécanismes de mise en œuvre disponibles pour que tout accord entre en vigueur. Il s'agit notamment de mécanismes permettant aux États de prendre des engagements, de régir les activités, de gérer les contributions financières, de prendre des décisions ultérieures, de surveiller les résultats mutuels et de promouvoir la conformité. Les États peuvent prendre des engagements contraignants ou non contraignants par le biais de conventions, contrats, déclarations ou réformes institutionnelles. Les États peuvent régir les activités visant à mettre en œuvre leurs accords par l'intermédiaire d'organisations internationales, de sous-agences, de coentreprises ou de processus d'auto-organisation. Le financement peut être géré par des fonds spécialisés, des institutions financières multilatérales, des organisations associatives ou l'autogestion coordonnée. Les décisions peuvent être prises à l'unanimité, par consensus, par vote égal, vote modifié ou délégation. Le contrôle peut être effectué par des pairs, des examens d'experts, des auto-évaluations ou la société civile. Ensemble, les États doivent choisir les options qu'ils préfèrent parmi toutes les catégories de mécanismes de mise en œuvre, dont chacune présente des avantages et des inconvénients. Le défi réside dans le choix des combinaisons de mécanismes les plus efficaces pour soutenir un accord international (ou un ensemble d'accords) qui réalise les aspirations collectives d'une manière et à un coût qui soient à la fois durables et acceptables pour les parties concernées. En prenant ces décisions, les États membres de l'OMS peuvent bénéficier d'années d'expérience avec ces différents mécanismes dans le domaine de la santé et ses secteurs connexes.

    Resumo em Espanhol:

    Los Estados miembros de la Organización Mundial de la Salud (OMS) debaten en la actualidad el contenido y la forma de un acuerdo internacional para mejorar la financiación y coordinación de la investigación y el desarrollo (I + D) de productos sanitarios que satisfagan las necesidades de los países en desarrollo. Además de tener en cuenta el contenido de cualquier acuerdo legal o político posible, los Estados miembros consideran que sería útil que repercutiera en toda la gama de mecanismos de puesta en marcha disponibles para llevar a efecto cualquier acuerdo. Esto incluye los mecanismos que los estados pueden emplear para asumir compromisos, administrar actividades, gestionar contribuciones financieras, tomar decisiones posteriores, seguir la actuación de otros estados y fomentar el cumplimiento. Los estados pueden asumir compromisos vinculantes o no a través de convenciones, contratos, declaraciones o reformas institucionales; pueden administrar actividades para poner en práctica sus acuerdos por medio de organizaciones internacionales, sub-agencias, operaciones conjuntas u organizando procesos. Gracias a los fondos multilaterales especializados, instituciones financieras, organizaciones de afiliados o una autogestión coordinada, es posible gestionar las finanzas. Las decisiones se pueden tomar por unanimidad, consenso, votación con el mismo derecho a voto, votación moderada o delegación. Los exámenes por parte de un grupo de colegas o de expertos, los auto-informes o una sociedad civil son opciones a través de las cuales es posible garantizar una supervisión. Los estados deberían escoger juntos las opciones que prefieren de entre las categorías de mecanismos de puesta en marcha, pues cada una tiene sus ventajas y desventajas. El desafío reside en elegir las combinaciones de mecanismos más eficaces para respaldar un acuerdo (o conjunto de acuerdos) internacional que lleve a cabo las aspiraciones colectivas de un modo y con unos costes que sean tanto sostenibles como aceptables para las partes involucradas. A la hora de tomar esas decisiones, los Estados miembros de la OMS pueden beneficiarse de los años de experiencia que tanto el sector sanitario como los relacionados tienen con los diferentes mecanismos

    Resumo em Inglês:

    The Member States of the World Health Organization (WHO) are currently debating the substance and form of an international agreement to improve the financing and coordination of research and development (R&D) for health products that meet the needs of developing countries. In addition to considering the content of any possible legal or political agreement, Member States may find it helpful to reflect on the full range of implementation mechanisms available to bring any agreement into effect. These include mechanisms for states to make commitments, administer activities, manage financial contributions, make subsequent decisions, monitor each other's performance and promote compliance. States can make binding or non-binding commitments through conventions, contracts, declarations or institutional reforms. States can administer activities to implement their agreements through international organizations, sub-agencies, joint ventures or self-organizing processes. Finances can be managed through specialized multilateral funds, financial institutions, membership organizations or coordinated self-management. Decisions can be made through unanimity, consensus, equal voting, modified voting or delegation. Oversight can be provided by peer review, expert review, self-reports or civil society. Together, states should select their preferred options across categories of implementation mechanisms, each of which has advantages and disadvantages. The challenge lies in choosing the most effective combinations of mechanisms for supporting an international agreement (or set of agreements) that achieves collective aspirations in a way and at a cost that are both sustainable and acceptable to those involved. In making these decisions, WHO's Member States can benefit from years of experience with these different mechanisms in health and its related sectors.
  • Decision-making on malaria vaccine introduction: the role of cost-effectiveness analyses Perspectives

    Moorthy, Vasee S; Hutubessy, Raymond; Newman, Robert D; Hombach, Joachim
  • Anything goes on the path to universal health coverage? No. Perspectives

    Kutzin, Joseph
World Health Organization Genebra - Genebra - Switzerland
E-mail: bulletin@who.int