• Setting research priorities for adolescent sexual and reproductive health in low- and middle-income countries Research

    Hindin, Michelle J; Christiansen, Charlotte Sigurdson; Ferguson, B Jane

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Établir un processus, sous la direction d'experts, visant à identifier les priorités de la recherche en matière de santé sexuelle et reproductive chez l'adolescent dans les pays à revenu faible et moyen. MÉTHODES: Les auteurs ont modifié la méthode d'établissement des priorités de l'Initiative pour la recherche en santé et nutrition infantiles (CHNRI) afin d'obtenir la contribution de près de 300 chercheurs, gestionnaires de programmes de santé et donateurs, de formation et d'expérience très diverses, et provenant de toutes les régions géographiques. Dans le cadre d'un processus en trois phases, ils ont demandé à ces experts de: (i) classer les domaines de résultats par ordre d'importance, (ii) formuler des questions de recherche au sein de chaque domaine, et (iii) classer les questions formulées. RÉSULTATS: Sept domaines de la santé sexuelle et reproductive des adolescents ont été identifiés comme importants: (i) la santé maternelle;(ii) la contraception; (iii) la violence sexiste; (iv) le traitement et les soins des patients infectés par le virus de immunodéficience humaine (VIH);(v) l'avortement; (vi) l'intégration de la planification familiale et des services liés au VIH et (vii) les infections sexuellement transmissibles. Les experts ont généré de 30 à 40 questions de recherche dans chaque domaine. Pour déterminer le caractère prioritaire de ces questions, ils ont appliqué cinq critères: clarté, capacité de réponse, impact, mise en uvre et pertinence en termes d'équité. Les classements se basaient sur les scores moyens généraux, dérivés de la moyenne des scores pour les critères individuels. Les experts étaient entièrement d'accord sur l'importance relative des questions dans chaque domaine. CONCLUSION: Les questions de recherche sur la prévalence des maladies qui affectent les adolescents cèdent la place à des questions de recherche sur l'intensification des interventions existantes et le développement de nouvelles interventions. Les méthodes de la CHNRI peuvent être utilisées par les donateurs et les gestionnaires de programmes de santé pour fixer les priorités de la recherche sur la santé sexuelle et reproductive chez les adolescents.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Llevar a cabo un proceso dirigido por expertos a fin de identificar las prioridades en la investigación sobre la salud sexual y reproductiva de los adolescentes en paÃses con ingresos bajos y medios. MÉTODOS: Los autores modificaron el método de establecimiento de prioridades de la Iniciativa de Salud del Nino e Investigación Nutricional para conseguir la contribución de casi 300 investigadores, gestores de programas sanitarios y donantes con diversas trayectorias y experiencias y procedentes de todas las regiones geográficas. En un proceso que constó de tres fases, se solicitó a dichos expertos que: (i) clasificaran las áreas de resultados según su importancia; (ii) formularan temas de investigación en cada área y (iii) clasificaran los temas formulados. RESULTADOS: Se identificaron como importantes siete áreas de la salud sexual y reproductiva de los adolescentes: (i) la salud materna; (ii) la anticoncepción; (iii) la violencia de género; (iv) el tratamiento y cuidado de los pacientes con el virus de la inmunodeficiencia humana (VIH); (v) el aborto; (vi) la unificación de la planificación familiar y los servicios relacionados con el VIH y (vii) las infecciones de transmisión sexual. Los expertos crearon entre 30 y 40 temas de investigación en cada área y, con objeto de priorizar dichos temas, aplicaron cinco criterios: claridad, responsabilidad, impacto, aplicación y pertinencia para la equidad. Las clasificaciones se basaron en las puntuaciones medias globales obtenidas al calcular el promedio de las puntuaciones de los criterios individuales. Los expertos coincidieron en la importancia relativa de los temas en cada área. CONCLUSIÓN: Los temas de investigación sobre el predominio de las situaciones que afectan a los adolescentes dan paso a temas que tratan tanto la ampliación de las intervenciones existentes como el desarrollo de nuevas intervenciones. Tanto donantes como gestoresde programas sanitarios pueden emplear los métodos de la Iniciativa de Salud del Nino e Investigación Nutricional para establecer las prioridades en la investigación sobre la salud sexual y reproductiva de los adolescentes.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To conduct an expert-led process for identifying research priorities in adolescent sexual and reproductive health in low- and middle-income countries. METHODS: The authors modified the priority-setting method of the Child Health and Nutrition Research Initiative (CHNRI) to obtain input from nearly 300 researchers, health programme managers and donors with wide-ranging backgrounds and experiences and from all geographic regions. In a three-Phase process, they asked these experts to: (i) rank outcome areas in order of importance; (ii) formulate research questions within each area, and (iii) rank the formulated questions. FINDINGS: Seven areas of adolescent sexual and reproductive health were identified as important: (i) maternal health; (ii) contraception; (iii) gender-based violence; (iv) treatment and care of patients with human immunodeficiency virus (HIV) infection; (v) abortion; (vi) integration of family planning and HIV-related services and (vii) sexually transmitted infections. Experts generated from 30 to 40 research questions in each area, and to prioritize these questions, they applied five criteria focused on: clarity, answerability, impact, implementation and relevance for equity. Rankings were based on overall mean scores derived by averaging the scores for individual criteria. Experts agreed strongly on the relative importance of the questions in each area. CONCLUSION: Research questions on the prevalence of conditions affecting adolescents are giving way to research questions on the scale-up of existing interventions and the development of new ones. CHNRI methods can be used by donors and health programme managers to prioritize research on adolescent sexual and reproductive health.
  • Effect of vitamin A supplementation on cause-specific mortality in women of reproductive age in Ghana: a secondary analysis from the ObaapaVitA trial Research

    Hurt, Lisa; ten Asbroek, Augustinus; Amenga-Etego, Seeba; Zandoh, Charles; Danso, Samuel; Edmond, Karen; Hurt, Chris; Tawiah, Charlotte; Hill, Zelee; Fenty, Justin; Owusu-Agyei, Seth; Campbell, Oona M; Kirkwood, Betty R

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Déterminer l'effet de la supplémentation hebdomadaire en vitamine A à faible dose sur la mortalité spécifique des femmes en âge de procréer au Ghana. MÉTHODES: Une étude randomisée, en triple aveugle, contrôlée contre placebo, a été menée dans sept districts de la région de Brong Ahafo au Ghana. Les femmes âgées de 15 à 45 ans, capables de donner un consentement éclairé et amenées à vivre dans la région de l'étude pendant au moins 3 mois, ont été incluses et il a été déterminé qu'elles recevraient une fois par semaine, au hasard selon leur groupe de résidence, de la vitamine A par voie orale (7 500 µg) ou un placebo. La randomisation a été fixée par deux groupes dans chaque zone recevant la vitamine A et deux groupes recevant le placebo. Toutes les 4 semaines, les agents de terrain distribuaient les capsules et recueillaient les données lors de visites à domicile. Des autopsies orales ont été effectuées par les superviseurs sur le terrain et analysées par des médecins, qui déterminaient la cause du décès. Les taux de mortalité spécifique dans les deux groupes ont été comparés à l'aide d'une régression de Poisson pour valider la randomisation des groupes. L'analyse, basée sur l'intention de traiter, était basée sur le groupe de résidence, pour des femmes éligibles à l'étude ayant reçu les capsules de supplément ou de placebo de manière constante pendant 6 mois. RÉSULTATS: L'analyse s'est basée sur 581 870 années-femmes et 2624 décès. Les taux de mortalité spécifique ont été jugés similaires dans les deux groupes de l'étude. CONCLUSION: Les suppléments en vitamine A à faible dose administrés hebdomadairement ne sont d'aucune utilité dans les programmes visant à réduire la mortalité chez les femmes en âge de procréer.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Determinar el efecto de la administración semanal de dosis bajas de vitamina A en la mortalidad por causas especÃficas de mujeres en edad reproductiva en Ghana. MÉTODOS: Se realizó un ensayo aleatorio de grupos, triple ciego y controlado por placebo en siete distritos de la región de Brong Ahafo, en Ghana. Se inscribieron mujeres de entre 15 y 45 anos de edad capaces de dar su consentimiento informado y que tuvieran previsto vivir en el área de ensayo durante al menos tres meses. De acuerdo con el grupo de residencia al que habÃan sido asignadas de forma aleatoria, recibieron semanalmente vitamina A por vÃa oral (7500 µg) o placebo. La distribución aleatoria se limitó en cada área de trabajo a dos grupos a los que se les administró vitamina A y dos grupos que recibieron placebo. Cada cuatro semanas, los investigadores de campo distribuyeron cápsulas y recogieron datos durante las visitas a los hogares. Las autopsias verbales realizadas por los supervisores de campo fueron revisadas por médicos, quienes determinaron la causa de la muerte. Se compararon las tasas de mortalidad por causas especÃficas de ambos brazos mediante los modelos de regresión de Poisson con efectos aleatorios para facilitar la distribución aleatoria de los grupos. El análisis fue por intención de tratar, según el grupo de residencia y con mujeres que cumplieron las condiciones de inclusión una vez habÃan recibido de forma constante las cápsulas de suplemento o placebo durante seis meses. RESULTADOS: El análisis se basó en 581 870 anos-mujer y 2624 muertes. Se descubrió que las tasas de mortalidad por causas especÃficas fueron similares en ambos brazos del estudio. CONCLUSIÓN: Los suplementos de dosis bajas de vitamina A administrados semanalmente no presentan ninguna ventaja en los programas para reducir la mortalidad de las mujeres en edad reproductiva.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To determine the effect of weekly low-dose vitamin A supplementation on cause-specific mortality in women of reproductive age in Ghana. METHODS: A cluster-randomized, triple-blind, placebo-controlled trial was conducted in seven districts of the Brong Ahafo region of Ghana. Women aged 15-45 years who were capable of giving informed consent and intended to live in the trial area for at least 3 months were enrolled and randomly assigned, according to their cluster of residence, to receive oral vitamin A (7500 µg) or placebo once a week. Randomization was blocked, with two clusters in each fieldwork area allocated to vitamin A and two to placebo. Every 4 weeks, fieldworkers distributed capsules and collected data during home visits. Verbal autopsies were conducted by field supervisors and reviewed by physicians, who assigned a cause of death. Cause-specific mortality rates in both arms were compared by means of random-effects Poisson regression models to allow for the cluster randomization. Analysis was by intention-to-treat, based on cluster of residence, with women eligible for inclusion once they had consistently received the supplement or placebo capsules for 6 months. FINDINGS: The analysis was based on 581 870 woman-years and 2624 deaths. Cause-specific mortality rates were found to be similar in the two study arms. CONCLUSION: Low-dose vitamin A supplements administered weekly are of no benefit in programmes to reduce mortality in women of childbearing age.
  • Cost savings associated with 10 years of road safety policies in Catalonia, Spain Research

    GarcÃa-Altes, Anna; Suelves, Josep M; BarberÃa, Eneko

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Déterminer si les politiques de sécurité routière introduites entre 2000 et 2010 en Catalogne, Espagne, qui visaient principalement à réduire de 50% les décès causés par des collisions routières avant 2010, ont été associées à des avantages économiques pour la société. MÉTHODES: Une analyse des coûts a été réalisée dans une perspective sociétale sur un horizon temporel de 10 ans. Elle a pris en compte les coûts suivants: les admissions à l'hôpital, les transports en ambulance, les autopsies, les soins de santé spécialisés, la police, les pompiers et les dépannages routiers, l'adaptation au handicap et la productivité perdue en raison du placement des personnes dans des établissements spécialisés, les décès ou les congés des blessés ou de leurs aidants, ainsi que les coûts matériels et les frais administratifs. Les données provenaient du registre d'un hôpital catalan, du système d'information du Service catalan de la circulation, des compagnies d'assurance et d'autres sources. Tous les coûts ont été calculés en euros (€), selon les valeurs de l'année 2011. RÉSULTATS: Une diminution substantielle des décès causés par collision routière a été observée entre 2000 et 2010. Entre 2001 et 2010, grâce à la mise en œuvre de nouvelles politiques de sécurité routière, on a recensé une diminution de 26 063 collisions routières avec victimes, une diminution de 2909 décès (57%) et une diminution de 25 444 hospitalisations. Le total des économies estimé sur les coûts était d'environ 18 000 millions déuros. En ce qui concerne ce chiffre, environ 97% résultaient de la réduction des coûts liés à la perte de productivité. Parmi les économies restantes, 63% étaient associées aux soins de santé spécialisés, 15% à l'adaptation au handicap et 8,1% aux soins hospitaliers. CONCLUSION: Les politiques de sécurité routière mises en place en Catalogne ces dernières années ont été associées à une réduction du nombre de décès et de blessures causés par des collisions routières et à des avantages économiques substantiels pour la société.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Determinar si las polÃticas de seguridad vial introducidas entre los anos 2000 y 2010 en Cataluña, Espana, cuyo propósito principal era la reducción de los fallecimientos causados por accidentes de tráfico en un 50% hasta el 2010, estuvieron asociadas a un beneficio económico para la sociedad. MÉTODOS: Se llevó a cabo un análisis de costes desde una perspectiva social y un horizonte temporal de 10 anos. Se tomaron en consideración los costes de las hospitalizaciones, el transporte en ambulancia, las autopsias, la atención sanitaria especializada, la policÃa, bomberos y asistencia en carretera, la adaptación a la discapacidad y la pérdida de productividad debido a la institucionalización, las bajas por enfermedad o fallecimiento de los heridos o sus cuidadores, asà como los costes materiales y administrativos. Los datos se obtuvieron del registro de un hospital catalán, el sistema de información del servicio catalán de tráfico, companÃas aseguradoras y otras fuentes. Todos los costes se calcularon en euros (€) según los valores del 2011. RESULTADOS: Entre los anos 2000 y 2010 se observó una reducción importante de los fallecimientos causados por accidentes de tráfico. Entre el 2001 y el 2010, con la puesta en práctica de las nuevas polÃticas de seguridad vial, se produjeron 26 063 colisiones con vÃctimas menos de las esperadas, 2909 fallecimientos menos (57%), asà como 25 444 hospitalizaciones menos. El ahorro total estimado fue de aproximadamente 18 000 millones de euros. De éstos, un 97% se derivó de la reducción de la pérdida de productividad, y del ahorro restante, el 63% estuvo asociado con la atención sanitaria especializada, el 15% con la adaptación a la discapacidad y el 8,1% con la atención hospitalaria. CONCLUSIÓN: Las polÃticas de seguridad vial puestas en marcha en Cataluña en los últimos anos estuvieron asociadas a una reducción en el número de fallecidos y heridos por accidentes de tráfico, asà como con beneficios económicos importantes para la sociedad.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To determine whether the road safety policies introduced between 2000 and 2010 in Catalonia, Spain, which aimed primarily to reduce deaths from road traffic collisions by 50% by 2010, were associated with economic benefits to society. METHODS: A cost analysis was performed from a societal perspective with a 10-year time horizon. It considered the costs of: hospital admissions; ambulance transport; autopsies; specialized health care; police, firefighter and roadside assistance; adapting to disability; and productivity lost due to institutionalization, death or sick leave of the injured or their caregivers; as well as material and administrative costs. Data were obtained from a Catalan hospital registry, the Catalan Traffic Service information system, insurance companies and other sources. All costs were calculated in euros (€) at 2011 values. FINDINGS: A substantial reduction in deaths from road traffic collisions was observed between 2000 and 2010. Between 2001 and 2010, with the implementation of new road safety policies, there were 26 063 fewer road traffic collisions with victims than expected, 2909 fewer deaths (57%) and 25 444 fewer hospitalizations. The estimated total cost savings were around €18 000 million. Of these, around 97% resulted from reductions in lost productivity. Of the remaining cost savings, 63% were associated with specialized health care, 15% with adapting to disability and 8.1% with hospital care. CONCLUSION: The road safety policies implemented in Catalonia in recent years were associated with a reduction in the number of deaths and injuries from traffic collisions and with substantial economic benefits to society.
  • Multidrug-resistant tuberculosis in Belarus: the size of the problem and associated risk factors Research

    Skrahina, Alena; Hurevich, Henadz; Zalutskaya, Aksana; Sahalchyk, Evgeni; Astrauko, Andrei; Hoffner, Sven; Rusovich, Valiantsin; Dadu, Andrei; Colombani, Pierpaolo de; Dara, Masoud; van Gemert, Wayne; Zignol, Matteo

    Resumo em Francês:

    OBJECTIF: Évaluer le problème de la tuberculose multirésistante (TB-MR) sur le territoire biélorusse et explorer les facteurs de risque associés. MÉTHODES: Au cours d'une enquête nationale menée en 2010-2011, 1420 cas de tuberculose (TB) ont été dépistés et 934 cas nouveaux ainsi que 410 cas précédemment traités ont été jugés conformes aux critères d'inclusion. Des isolats de Mycobacterium tuberculosis provenant de chaque patient admissible ont été testés pour leur sensibilité envers les médicaments antituberculeux. Des informations sociocomportementales ont été recueillies lors d'entretiens basés sur un questionnaire structuré. RÉSULTATS: La TB-MR a été détectée dans respectivement 32,3% et 75,6% des cas nouveaux et des cas traités antérieurement, et 11,9% des 612 patients porteurs de la TB-MR présentaient une forme de tuberculose ultrarésistante (TB-UR). Un historique de traitement antérieur pour la TB représentait le principal facteur de risque indépendant pour la TB-MR (rapport des cotes, RC: 6,1; intervalle de confiance à 95%, IC: 4,8 à 7,7). Les autres facteurs de risque indépendants comprenaient l'infection par le virus d'immunodéficience humaine (VIH) (RC: 2,2; IC à 95%: 1,4 à 3,5), l'âge <35 ans (RC: 1,4 ; IC à 95%: 1,0 à 1,8), un historique d'emprisonnement (RC: 1,5; IC à 95%: 1,1 à 2,0), une invalidité suffisante pour empêcher le travail (RC: 1,9 ; IC à 95%: 1,2 à 3,0), l'alcoolisme (RC: 1,3; IC à 95%: 1,0 à 1,8) et le tabagisme (RC: 1,5; IC à 95%: 1,1 à 2,0). CONCLUSION: La TB-MR est très fréquente chez les patients atteints de tuberculose en Bélarus. Les nombreux facteurs de risque identifiés pour la TB-MR et la convergence entre l'épidémie de TB-MR et l'infection par le VIH exigent non seulement de renforcer la collaboration entre les programmes antituberculeux et de lutte contre le VIH, mais aussi la mise en œuvre de mesures innovantes pour accélérer la détection de la résistance à la tuberculose et améliorer l'observance du traitement.

    Resumo em Espanhol:

    OBJETIVO: Evaluar el problema de la tuberculosis multirresistente (TB-MR) en Bielorrusia e investigar los factores de riesgo asociados. MÉTODOS: En una encuesta a nivel nacional llevada a cabo entre 2010 y 2011, se evaluó a 1420 pacientes con tuberculosis (TB) y se consideró que 934 nuevos casos de TB y 410 casos de TB previamente tratados reunÃan los criterios de inclusión. Se analizaron cepas de Mycobacterium tuberculosis de cada paciente elegible con el fin de determinar la susceptibilidad a los fármacos antituberculosos. Se recopiló información socioconductual mediante entrevistas basadas en un cuestionario estructurado. RESULTADOS: Se detectó TB-MR en el 32,3% y el 75,6% de los pacientes de nuevo diagnóstico y tratados previamente, respectivamente, y se observó que el 11,9% de los 612 pacientes con TB-MR presentaba tuberculosis ultrarresistente (TB-XR). Los antecedentes de tratamiento previo de la TB resultaron ser el factor de riesgo independiente que más predispone a sufrir TB-MR (razón de posibilidades, OR: 6,1; intervalo de confianza del 95%, IC: 4,8-7,7). Los demás factores de riesgo independientes fueron el virus de la inmunodeficiencia humana (VIH) (OR: 2,2; IC del 95%: 1,4-3,5), edad < 35 anos (OR: 1,4; IC del 95%: 1,0-1,8), antecedentes de encarcelamiento (OR: 1,5; IC del 95%: 1,1-2,0), incapacidad suficiente para impedir el trabajo (OR: 1,9; IC del 95%: 1,2-3,0), alcoholismo (OR: 1,3; IC del 95%: 1,0-1,8) y tabaquismo (OR: 1,5; IC del 95%: 1,1-2,0). CONCLUSIÓN: La TB.MR es muy frecuente entre los pacientes con tuberculosis en Bielorrusia. Los numerosos factores de riesgo identificados para la TB-MR, unidos a la convergencia de las epidemias de TB-MR y la infección por el VIH, exigen no solo una mayor colaboración entre los programas de control de la TB y del VIH, sino también la aplicación de medidas innovadoras destinadas a acelerar la detección de la resistencia a la TB y mejorar el cumplimiento terapéutico.

    Resumo em Inglês:

    OBJECTIVE: To assess the problem of multidrug-resistant tuberculosis (MDR-TB) throughout Belarus and investigate the associated risk factors. METHODS: In a nationwide survey in 2010-2011, 1420 tuberculosis (TB) patients were screened and 934 new and 410 previously treated cases ofTB were found to meet the inclusion criteria. Isolates of Mycobacterium tuberculosis from each eligible patient were tested for susceptibility to anti-TB drugs. Sociobehavioural information was gathered in interviews based on a structured questionnaire. FINDINGS: MDR-TB was found in 32.3% and 75.6% of the new and previously treated patients, respectively, and, 11.9% of the 612 patients found to have MDR-TB had extensively drug-resistant TB (XDR-TB). A history of previous treatment for TB was the strongest independent risk factor for MDR-TB (odds ratio, OR: 6.1; 95% confidence interval, CI: 4.8-7.7). The other independent risk factors were human immunodeficiency virus (HIV) infection (OR: 2.2; 95% CI: 1.4-3.5), age < 35 years (OR: 1.4; 95% CI: 1.0-1.8), history of imprisonment (OR: 1.5; 95% CI: 1.1-2.0), disability sufficient to prevent work (OR: 1.9; 95% CI: 1.2-3.0), alcohol abuse (OR: 1.3; 95% CI: 1.0-1.8) and smoking (OR: 1.5; 95% CI: 1.1-2.0). CONCLUSION: MDR-TB is very common among TB patients throughout Belarus. The numerous risk factors identified for MDR-TB and the convergence of the epidemics of MDR-TB and HIV infection call not only for stronger collaboration between TB and HIV control programmes, but also for the implementation of innovative measures to accelerate the detection of TB resistance and improve treatment adherence.
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